Le fourrures sont à Paris et dans les provinces très recherchés par la pelleterie de luxe, et aussi considérés comme très pratiques, irremplaçables (pour les chapeaux et manteaux d'hiver notamment), Ainsi les peaux de loup, de lynx, de renard, de loutre, de martre d'Amérique, de blaireau d'Amérique et de rat musqué et surtout de castor ainsi que des peaux d’orignal se négocient sans difficultés. Cette chapelle est remplacée en 1730 par une chapelle en pierre. [réf. La viande était conservée par séchage, de même que le poisson ou la courge. Ces repas sont décrits par les Jésuites. Le clan est privilégié avant tout. En effet, car les tribus huronnes entretenaient des relations commerciales seulement avez des tribus avec lesquelles ils étaient en paix. L'impact des guerres et des épidémies sur la population iroquoise est énorme. Au départ, les Hurons cultivent le maïs, les haricots, la courge (appelées les « Trois Sœurs », l'agriculture étant souvent pratiquée par les femmes) et même, dans une moindre mesure, du tabac, de moins bonne qualité que celui cultivé par les Pétuns et les Neutres, ainsi que du tournesol, utile pour son huile ainsi que pour la fabrication de peintures de guerre. Ils commercent et ont de bonnes relations avec les Pétuns et les Neutres, ainsi qu'avec certaines tribus de la Confédération des Cinq-Nations iroquoises et avec les Algonquiens de la vallée de l'Outaouais : les Outaouais, les Nipissings et les Algonquins. Débloquer un cas difficile ou Le meurtre était puni beaucoup plus sévèrement que l’assaut. Certaines fiches dépassent même l'année 1800 ! Les commerçants Hurons descendaient la rivière Saint-Laurent annuellement pour échanger les fourrures amassées contre des marchandises venant directement d’Europe. On ne compte que de 400 à 1 000 membres en 1740, puis pas plus de 179 en 1829. Ensuite, ils les cassaient à l’aide de cordage. Par la suite, ils tapissaient la fosse de peaux de castor. Ce peuple effectue également des transactions avec le peuple français avec qui ils ont eu un premier contact en 1609. Par exemple, les Hurons obtenaient leurs wampums des Susquehannocks qui eux l’obtenaient des producteurs côtiers de l’Atlantique. nécessaire] Localisation . Les Français recherchent des fourrures d'animaux qu'ils ne trouvent plus ou très difficilement chez eux après les avoir presque exterminés. Les Hurons ne possédaient que peu de biens et il était dans leurs habitudes de partager ces biens entre les membres de la famille et ceux de la tribu. Avant 1649, les Wendats disposaient d’un territoire au Canada et aux États-Unis. The web site stops in 1721 plus the married Pendant la période végétative, pour protéger leurs récoltes des prédateurs comme les corneilles et les ratons, ils construisaient des postes d’observation au milieu des champs pour que les vieilles femmes puissent surveiller. La Couronne de France aurait octroyé aux Hurons chrétiens la seigneurie de Sillery. Les peuples autochtones du Québec sont des peuples qui sont très près du monde spirituel, par exemple les Cris, les Abénaquis, etc. Au XVIIe siècle, les Hurons-Wendats vivaient dans 18 à 25 villages, dont certains comptaient jusqu’à 3 500 habitants, ce qui représente près de 10 % de la population à l'époque. Ces transactions ont mené à la création d’une alliance lors des guerres contre les Iroquois et les Anglais[25]. Dès lors, l'accès aux marchandises européennes devient le moteur d'une chasse effrénée à la pelleterie. Si la victime voulait récupérer ses biens qui lui avait été pris, elle devait démontrer qu’un autre membre du clan était entré en possession de ce bien et comment il l’avait fait. Avant l'arrivée des Français, ils sont en guerre avec les Iroquois, mais cette guerre régularise le poids démographique de chaque peuple, et les captifs sont souvent adoptés. Ensuite, elles faisaient des sillons et avec l’aide d’un petit bâton de bois, elles creusaient de petits trous pour pouvoir y planter leurs graines. Les Attignawantan et les Attignaenongnehac se livrent à des combats contre les cinq tribus iroquoises de New York, et sont bientôt rejoints par les trois autres peuplades huronnes qui quittent la rive sud et la rive est de l'Ontario pour se joindre à eux. Il n’avait pas de peine prédéfinie pour le vol. Après 1649, une autre partie des Hurons fuit vers l'Ouest et s'installe dans le Michigan et l'Ohio puis, après le XVIIIe siècle, ils sont divisés en trois groupes : un dans le Michigan et l'Ontario (la Nation Wyandot d'Anderdon), l'autre au Kansas et le troisième dans l'Oklahoma, dans l'actuelle réserve huronne de Wyandot. Ils font affaire avec les Pétuns, situés dans le territoire actuel du sud de l`Ontario, les Neutres, établis près du lac Érié dans le sud de l`Ontario, les Outaouais, installés au lac Huron, au dans le territoire de l’actuel Michigan, en Ontario ainsi qu`en Oklahoma, les Nispissing et avec les Algonquins de la vallée de l`Outaouais. 1700) ou 1676 (sép. Les Hurons vendaient généralement leurs produits aux peuples voisins, mais servaient également d’intermédiaire[29]. Nation Wyandot d'Anderdon dans l’Ontario du sud et le Michigan, QG à Trenton. Les Hurons formaient une confédération de cinq tribus distinctes, d'après les premiers Européens entrant en contact avec eux : les Attignawantan peuplade de l'ours, les Attignaenongnehac peuplade de la corde, les Arendaronon peuplade du rocher, les Tahontaenrat peuplade du Daim et les Ataronchronons peuplade des Marais. Ils apprennent le français et les mariages mixtes sont nombreux. Cette houe aidait les femmes à briser les mottes de terre et à sarcler le sol. Les marchandises circulaient plus que les hommes, c’était par une chaine d’intermédiaires que les produits d’échange circulaient. Les Hurons n'étaient, bien entendu, pas démunis de ces armes, mais il existe à ce titre une différence notable entre Hurons et Iroquois. Les chefs sont nommés par les mères de clans. Le nom « Huron » leur a été donné par les premiers arrivants français à cause de la coiffure des hommes, semblable à celle des Mohawks et des Ojibwés, qui rappelait la hure du sanglier femelle en France. Lorsqu’ils n’avaient pas un bien, ils se le procuraient par redistribution. Si au départ les Hurons construisent des maisons longues traditionnelles, celles-ci sont rapidement abandonnées et remplacées par des maisons à l'européenne. Dans le long du corridor central se trouvaient des feux, et sur le côté étaient situées des plateformes surélevées afin de pouvoir dormir. VILLAGE DES HURONS, WENDAKE DESCRIPTION The Village des Hurons, Wendake Reserve includes the following lots: The overall area of the reserve is 143 hectares. Après toutes ces étapes et le terrain prêt à être cultivé, c’est à ce moment que les femmes pouvaient ensemencer ces nouvelles parcelles[13],[14]. En 1647, une tentative de paix échoue, refusée des Mohawks et des Sénécas, et les conflits reprennent en 1648. Un second procédé était l’entreposage du maïs égrené dans des tonneaux d’écorce qu’on installait dans les maisons longues. Demandant au chaman huron d'interpréter son rêve, l'Iroquois fut tué par le chaman, qui prenait ce rêve pour la réalité (les Hurons pensant que les rêves sont des messages destinés à se réaliser dans la vie réelle). [8]. Les femmes effectuaient tous les travaux agricoles, de l’ensemencement à la récolte, faisaient plusieurs rites spirituels pour avoir de bons rendements. sur la trace de mes ancêtres... mon arbre (François) Contactez-nous; Page d'accueil Chercher Se connecter Registre des Hurons de Loretteville, Quebec Province, Canada. Baptism of Ambroise Verret. Tout se faisait par intermédiaires[30]. savoir comment faire vos propres recherches en Europe ? Ceux-ci sont alors considérés comme des sorciers : en effet, ils baptisent les Hurons peu avant leur mort et ils ne sont pas touchés par les épidémies. Ainsi, en Nouvelle-France, le commerce d'armes à feu était soumis à la règlementation du gouverneur, et sous contrôle des Jésuites. Le déroulement de la fête était sur plusieurs cérémonies, mais la principale était celle de la chaudière. Ce qui veut dire que selon eux, les esprits des morts sont à tout moment en relation avec les vivants. Index (Foreigners' Parents)]. research in Europe ? De plus, les Iroquois, déjà bloqués dans leurs propre pays par leurs (autres) nombreux ennemis (Mohicans à l'est, Nation du feu au sud et à l'ouest), ne peuvent accéder à des zones de chasse plus étendues. Chez les Hurons aussi la relation qu’ils ont avec les morts prend une place très importante, par exemple dans les écrits des jésuites des croyances et des activités rituelles, par exemple ils amassaient tous le matériel dont le défunt aura besoin à sa mort. Au printemps, ils écorçaient les arbres pour accélérer leur décomposition ils faisaint brûler les herbes et les broussailles. Le contact avec les missionnaires chrétiens amena certains Hurons à considérer ces missionnaires comme des chamans, car ils ne comprenaient que peu leurs enseignements religieux. Les ossements étaient ensuite déposés, recouverts de peaux, d’écorce d’arbre et enterrés en recouverts de gros morceaux de bois, ils érigeaient une clôture de pieux autour de la fosse. Lors du premier contact franco-wendat au XVIIe siècle (1609), les Hurons étaient, d'après les premiers Européens entrant en contact avec eux, organisés en une confédération de cinq tribus ou peuplades distinctes : les Attignawantan, les Attignaenongnehac, les Arendaronon, les Tahontaenrat et les Ataronchronons. Selon Marc Lescarbot, en 1658 une seule peau de castor seule se vendait autour de cinquante sous (2,5 livres) en France après avoir atteint 10 livres en 1618 ; En 1626, environ 12000 à 15000 peaux de castor ont été exportées vers Tadoussac, un important poste de traite à l’époque, selon Charles Lalemant. L'église abrite des biens de grande valeur culturelle ou artistique. Améliorez-le ou soumettez des propositions en page de discussion. well known professional genealogist, can also do research Parmi les ustensiles de cuisine issus de l'artisanat huron, on peut retenir les pots qui servaient à cuisiner, à emmagasiner de la nourriture ou à transporter de l'eau. Ce principe s’appliquait chez les Hurons afin de faire maintenir l’ordre et le respect entre les nations sans avoir à faire recours à la peine maximale[7].